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Vous vous imaginez à 1000m d'altitude, survolant paisiblement
votre région, porté uniquement par des forces naturelles (l'air chaud qui monte), sans
bruit.. "Oui mais y a pas de moteur" disent certains. "Pas de moteur, pas de panne" répond le vélivole. "Dangereux" pensent certains parents. Bien moins qu'un tour en scooter et c'est une formidable école de responsabilité pour un jeune (dépêchez-vous, il y a des bourses très intéressantes avant 25 ans). Bien sûr, on ne fait pas une heure de planeur comme une heure de tennis, il faut d'abord que la météo soit adéquate. C'est une activité d'équipe: il faut sortir les engins du hangar, que le pilote de remorqueur et l'instructeur soient disponibles. Mais quelle récompense quand on spirale sous un cumulus pour gagner de l'altitude ou qu'on file d'une "pompe" à une autre en admirant le paysage. Et puis vient le jour du "lâcher" où on se retrouve seul aux commandes (avec un petit pincement de coeur tout de même). Ensuite, le brevet et pourquoi pas tout l'éventail: circuits, vol de pente, vol d'onde.. Ah les veinards! Tuyau 1: s'inscrire dans un club.Tâchez de trouver un club pas trop loin de chez vous, sur un terrain qui ne
soit pas un aéroport (plus tranquille, pas de procédures radio pesantes), avec un
instructeur (trice) sympa. Allez-y faire un tour pour vous renseigner, vous verrez
l'ambiance. Tuyau 2: piloter.
Planeur LS1 (finesse maximale 37) Liens:Cherchez à "planeur" ou "vol à voile" dans votre moteur
de recherche francophone favori, ou à "soaring" dans un moteur de recherche
anglophone. |
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jcd66@wanadoo.fr pour d'autres tuyaux ou contact