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COMME HIER 

(Texte: Paul Fort)

Mignonne bluette rurale, mais à part ça, moi rien comprendre à ce poème. Si un spécialiste de Paul Fort pouvait éclaircir ma lanterne: retour à la terre? nostalgie d'un monde rural en voie de disparition? et qui sont ceux qui tiennent la cuiller et le couteau????????????

Cliquez sur le bouton suivant pour vous remettre en mémoire la mélodie:

Hé! donne-moi ta bouche, hé! ma jolie fraise!
L'aube a mis des fraises plein notre horizon.
??????????????????
Garde tes dindons, moi mes porcs, Thérèse.
Ne repousse pas du pied mes petits cochons.
 

Va, comme hier ! comme hier ! comme hier ! 
Si tu ne m'aimes point, c'est moi qui t'aimerons

 


pour imiter certains patois qui allient la 1ère personne du singulier à la terminaisons "ons"

L'un tient le couteau, l'autre la cuiller:  ?????????????????????
La vie, c'est toujours les mêmes chansons.
 

Pour sauter le gros sourceau de pierre en pierre, 
Comme tous les jours mes bras t'enlèveront. 
Nos dindes, nos truies nous suivront légères. 
Ne repousse pas du pied mes petits cochons.

 

pour ruisseau j'imagine??

 

Va, comme hier ! comme hier ! comme hier ! 
Si tu ne m'aimes point, c'est moi qui t'aimerons. 
La vie, c'est toujours amour et misère. 
La vie, c'est toujours les mêmes chansons.

 

J'ai tant de respect pour ton coeur, Thérèse. 
Et pour tes dindons, quand nous nous aimons. 
Quand nous nous fâchons, hé ! ma jolie fraise, 
Ne repousse pas du pied mes petits cochons.

 

Va, comme hier ! comme hier ! comme hier ! 
Si tu ne m'aimes point, c'est moi qui t'aimerons. 
L'un tient le couteau, l'autre la cuiller: 
La vie, c'est toujours la même chanson. 

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(Paul Fort)