LA CHASSE AUX PAPILLONS
Une délicieuse histoire d'amour.
Cliquez sur le bouton ci-dessous pour vous remettre en mémoire la mélodie:
Un bon petit diable à la fleur de l'âge, | en pleine jeunesse |
La jambe légère et l'oeil polisson, | coquin, malicieux |
Et la bouche pleine de joyeux ramages, | chant des oiseaux, donc langage du jeune homme |
Allait à la chasse aux papillons.
Comme il atteignait l'orée du village, |
la sortie, l'extrémité du village |
Filant sa quenouille, il vit Cendrillon, | outil pour filer la laine, prénom tiré d'un conte |
Il lui dit: « Bonjour, que Dieu te ménage, | formule de politesse ancienne = que Dieu de garde |
Je t'emmène à la chasse aux papillons. » | |
Cendrillon, ravie de quitter sa cage, |
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Met sa robe neuve et ses botillons; | chaussures, petites bottes |
Et bras dessus bras dessous vers les frais bocages | région où champs et prés sont entourés de haies |
Ils vont à la chasse aux papillons.
Ils ne savaient pas que, sous les ombrages, |
la flèche du dieu de l'amour, Cupidon |
Et qu'il transperçait les coeurs de leur âge, Les coeurs des chasseurs de papillons. Quand il se fit tendre, elle lui dit: « Je présage |
je suppose, j'imagine |
Que c'est pas dans les plis de mon cotillon, | sous-vêtement, jupon, porté sous la jupe |
Ni dans l'échancrure de mon corsage, Qu'on va-t-à la chasse aux papillons. » Sur sa bouche en feu qui criait: « Sois sage ! » |
agitation |
Qu'on ait vu de mémoire de papillon. | |
Un volcan dans l'âme, ils revinrent au village, Mais tant qu'ils s'aimeront, tant que les nuages
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